vendredi 18 décembre 2015

Mum, Dad & kids (Initiative citoyenne européenne - Le Mariage union d'1 homme et d'une Femme)
















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Mum, Dad & kids (Initiative citoyenne européenne -
             Le Mariage union d'1 homme et d'une Femme) [*]

La Commission met son veto à l’initiative citoyenne «UN DE NOUS»:
une décision contraire aux exigences éthiques et démocratiques [*]

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Synode2016 – « Ne nous laissons pas pénétrer par l’esprit du monde »
    Mgr Zbignevs Stankevics, archevêque catholique de Riga (Lettonie) [*]

Journalier du Synode sur la Famille 2014/2015 [*]

"Gleeden : place aux anticorps"
« Qu’est-ce qu’une famille ? » par Fabrice Hadjadj (Grenelle Famille)
La gloire de nos mères, par Fabrice Hadjadj (Le Figaro)
Mariagegay - SAISINE DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
J’ai 15 ans, monsieur Hollande, et vous m’avez trahie !
L'homoparenté contre l'égalité
                      et environnementale ? CESE 
       ... rien ne bouge, pas une virgule." ! via Koztoujours
                      (LaManifPourTous)
                           mariage et l’adoption par les couples homosexuels
Contre le “mariage” gay : 3 étapes
Discours de Tugdual Derville à la défense le 23 Octobre
Adoption homo : qui a peur du débat ?

mardi 15 décembre 2015

"La sagesse de Noé contre les technocrates de la COP21" Eugénie Bastié & Paul Piccarreta



(Source: Le Figaro)



FIGAROVOX/TRIBUNE- Contre les solutions technocratiques et supranationales et l'imposture de la croissance verte, Paul Piccarreta et Eugénie Bastié prônent une écologie intégrale qui mette au cœur la reconnaissance de la finitude de l'homme.



( revue: "Limite" )

Paul Piccarreta est journaliste indépendant et Eugénie Bastié est journaliste au Figaro. Ils ont tous les deux lancé, avec Gaultier Bès la revue Limite, première revue d'écologie intégrale (Septembre 2015, editions du Cerf. .

Tapez «COP21» sur Google. Les sites d'EDF et de Renault arrivent en premier. «Votre entreprise s'engage pour le climat». On parle de degrés et de milliards, de fonds verts et de transition technologique. On évoque le tri des déchets et les technologies vertes, les mécanismes juridiques et financiers de contrôle. On voit Fabius jouer les «monsieur Météo» en une du Parisien magazine. Qu'est-ce que tout cela a bien à voir avec l'écologie?

La chose était pourtant claire pendant des décennies. Dès 1866, la communauté scientifique s'est appuyé sur la définition du biologiste et philosophe allemand Ernst Haeckel pour nommer l'écologie le plus rigoureusement: «Nous entendons par'écologie'la science globale des relations des organismes avec leur monde extérieur environnant dans lequel nous incluons, au sens large, toutes les conditions d'existence.». La science des relations. Il aura fallu l'expansion des «relations internationales», du libre-échange et du co-business (le troc 3.0 entre pros) pour ne plus comprendre le mot relation que sous son potentiel mercantile. Alors que l'approche techno scientifique du monde dissèque celui-ci en autant de segments, spécialités et fragments, l'approche écologique se veut une aspiration à l'unité féconde. Alors que la modernité découpe les problèmes et divise l'homme en désirs auxquels répondent autant de moyens, l'écologie se veut une reconquête de la fin, et une acceptation de la finitude. Chose prévisible, depuis une trentaine d'année, rien de profondément écologique n'a été entrepris en ce sens par les détenteurs de l'écologie officielle.


"Alors que la modernité découpe les problèmes et divise l'homme en désirs auxquels répondent autant de moyens, l'écologie se veut une reconquête de la fin, et une acceptation de la finitude."

De ce fait, le scénario de la COP21 était couru d'avance. En entrée, présentation de la catastrophe: la destruction des écosystèmes qui s'accélère, le dérèglement climatique qui s'emballe, la planète qui brûle et le gaspillage des richesses naturelles qui s'intensifie. Tout était écrit depuis 1992 et le sommet pour la Terre à Rio. On répète juste, on rabâche, on se «mobilise», et l'on colle beaucoup d'autocollants. Nous sommes cyniques? La réalité l'est davantage. Depuis les premières réunions mondiales sur le climat, les sommets ont exclusivement été coordonnés par les leaders de la pétrochimie, de la déforestation, de l'aménagement urbain. Le premier prix de l'écotartufferie revenant à un certain Stephan Schmidheiny, condamné à 16 ans de prison pour avoir fermé les yeux sur la mort de 3000 ouvriers dévastés par l'amiante. C'est lui-même, patron d'Eternit, qui a prononcé le discours d'ouverture à Rio, en 1992. Cyniques, nous? Rien de moins sûr.

Le déroulement actuel des choses nous contraints à parler d'une évidence: le capitalisme cherche, par l'imposture de la «croissance verte», à trouver de nouveaux marchés, à les fabriquer de toute pièce en détruisant la vie sous toutes ses formes. Le consommateur, lui, acquiesce, certain que la saturation du monde par les nouvelles technologies est le signe que «ça avance». Des exemples? L'air pur, autrefois la chose la plus gratuite qui soit, devient peu à peu une denrée rare, donc échangeable et commercialisable. C'est le principe même du marché des droits à polluer, en place depuis le protocole de Kyoto, qui autorise les pays à échanger entre eux des crédits carbone. Le «bio», qui était autrefois le lot de tous les légumes, est devenue une exception qu'il faut payer plus cher. Pour croquer de la salade non contaminée par les pesticides, il faut avoir un jardin, ou vivre dans un quartier gentrifié. Comme le mensonge s'écroule et la catastrophe se dévoile ; les technocrates ont trouvé l'astuce imparable. Il faut rendre le développement «durable» tout en réduisant l'empreinte écologique de l'humanité. On a compris l'idée: que le bruit des machines étouffent les cris des nouveaux nés.

Pour une écologie intégrale: moins de biens, plus de liens

Pourtant, une autre écologie est possible. Une écologie qui tacherait de remonter à la racine du mal, plutôt que d'en traiter technocratiquement les conséquences.«Tout est lié», martèle François dans son encyclique Laudato Si. «La différence sexuelle», «l'avortement», «les signalisations urbaines», la «diversité culturelle», la «défense des petits producteurs». Les abeilles et les embryons. Les pingouins et les paysages. Le climat et la famille. «La crise écologique est une manifestation extérieure de la crise éthique, spirituelle, culturelle de la modernité» écrit encore le pape. Une écologie qui ferait la critique des mythes de la modernité: «individualisme, progrès indéfini, concurrence, consumérisme, marché sans règles». C'est, pour le dire sans détours, ce que nous appelons depuis deux ans «écologie intégrale».


« Tout est lié », martèle François dans son encyclique Laudato Si. « La différence sexuelle », « l'avortement », « les signalisations urbaines », la « diversité culturelle », la « défense des petits producteurs ». Les abeilles et les embryons. Les pingouins et les paysages. Le climat et la famille.

L'expression n'est finalement qu'un pléonasme. Toute écologie véritable prend soin de la création toute entière, et la dérive libertaire de l'écologie, qui conduit certains Verts officiels à défendre pêle-mêle la GPA, l'avortement et la bande de Gaza, relève de l'imposture. Parce qu'elle est «oikos» (foyer) l'écologie permet d'envisager un déplacement de la polis (la cité) vers notre première communauté, la famille, prémunie de son éclatement artificiel.

Contre la loi de Gabor, «tout ce qui sera possible, sera fait, toujours», qui acte l'infinie marche en avant d'un progrès inarrêtable, l'écologie intégrale se veut un retour à une humanité charnelle: «Quand on me présente quelque chose comme un progrès, je me demande avant tout s'il nous rend plus humains ou moins humains.», disait Orwell.

Amis athées, ne vous effrayez pas que des catholiques l'aient employé en premier, l'écologie intégrale ressemble aussi à la «pensée de midi» développée par Camus, celle d'une «juste mesure» contre la folie de l'idéalisme, qui prétendrait régir le réel sous sa coupe.

«Dans la misère commune, la vieille exigence renait alors, la nature à nouveau se dresse contre l'histoire», écrivait encore l'auteur de l'Homme révolté.

La vieille exigence contre l'histoire, Noé contre Prométhée déchainé, tel est le sens profond d'une écologie digne de ce nom.

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"La sagesse de Noé contre les technocrates de la COP21"
                         Eugénie Bastié & Paul Piccarreta [*]

"Les corps du purgatoire" de Fabrice Hadjadj [*]



                                        n’est ni un parti ni un “think tank” de plus » [*]

Bonimenteurs au sommet (Tugdual Derville)  [*]

"L’écologie humaine : vers une mutation culturelle ?" par Tugdual Derville [*]

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"Contre nature" ...de Laurence Bonnamour...
Halte au narcissisme du corps  
"La révolte des masses" - d' Ortega Y Gasset

"Notre République" par Charles Vaugirard
La Laïcité, 4éme devise de la République pour Mr Olivier Falorni !!!!Lettre de Mgr Aillet (MANIFPOURTOUS , Bioéthique , Gender , Euthanasie Morale Laïcque...)"Tomber la culotte" ET "morale laïque" de Vincent Peillon à l' école Chiara Petrillo: "OUI à la VIE"L' état doit il avoir une éthique ? La loi est elle pédagogique et donc oriente elle vers le bien ?Démocratie "entre" Loi civil et loi morale
Extrait de l' Evangile de la Vie (Evangelium vitae)
Loi naturelle et loi civile: 1-"un mariage de raison"La voix éloquente et claire de la ConscienceChronique libre: "De l'ordre moral à l'ordre infernal"
"Laïcité de l'Etat, laïcité de la société ?" - Conférence du Cardinal Ricard
La voix éloquente et claire de la ConscienceConscience morale: "Les chrétiens au risque de l'abstention ? "
La liberté de conscience et religieuse menacée aux États-Unis
Cardinal André XXIII - Extrait " Vision actuelle sur la Laïcité (KTO) "
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie I)
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie II)
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie III)
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie IV)
"La laïcité à la française " une analyse de Mgr Jean-Louis Bruguès
La voix éloquente et claire de la ConscienceQuand l' Eglise interpelle les consciences....pour 2012

"Ivresse et lassitude" par Foucauld Giuliani (sur @AlterCatho)





Un paradoxe frappant de notre société peut s’énoncer de la façon suivante : terriblement lasse d’elle-même, elle est cependant incapable de croire en sa transformation profonde. Dès lors, il n’est pas étonnant qu’elle réagisse à la menace terroriste de deux façons contradictoires. La lassitude qu’elle ressent envers elle-même la conduit à trouver dans cette menace un motif pour se divertir ; l’incapacité de croire en quelque chose de différent et l’assèchement complet de l’imagination politique la conduisent, quant à eux, à se persuader de sa valeur, à évacuer le doute qui l’empoisonne et à se déclarer prête à tout pour se défendre. Qui pourrait nier que les attentats sont, pour nos responsables orphelins de toute transcendance politique à offrir aux acerbes électeurs, une occasion de voir leur légitimité populaire embellie d’une nouvelle jeunesse ? Les voici investis d’une mission claire et nette : combattre le terrorisme.

Que les choses soient claires. Je ne dis pas que les attentats rendent quiconque heureux, ni qu’ils font les affaires de tel ou tel. Ce qui m’interpelle, c’est la façon dont les effets du drame sont recyclés par la machine à passions qu’est la société pour s’assurer de sa consistance et pour ouvrir une nouvelle page de son histoire.

François Hollande n’aurait jamais pensé qu’il déciderait, un jour, d’assumer la posture du chef de guerre et de prendre l’accent martial et solennel qui doit l’accompagner. Frédéric Lefebvre, l’un des cadors de l’UMP, ignorait qu’il était un poète en puissance, même dans ses rêves les plus fous. A l’annonce des attentats, le voilà qui se lève dans la nuit, saisi d’une fièvre inconnue… La fièvre de l’inspiration créatrice. La main tremblante, il plonge sa plume dans le pot d’encre, et commence : « Dans le ciel ta voix résonne / Sur l’asphalte s’écrase ton flanc (…) » Quant à Alain Finkielkraut, la proclamation du « retour de l’Histoire » le démangeait certes énormément depuis quelque temps mais il n’osait pas encore l’affirmer haut et fort. Maintenant, il peut se soulager une bonne fois : « L’Histoire est de retour ».

Ce qu’on décèle, dans ses attitudes, c’est une certaine ivresse découlant de l’apparente expérimentation du tragique. Le tragique, ce n’est pas le triste, le malheureux, le regrettable. Le sentiment du tragique est quelque chose de bien plus complexe et aussi, sans doute, de bien plus rare. Pour qu’il y ait sentiment du tragique, je pense qu’il faut que trois éléments principaux se trouvent réunis : tout d’abord, une forme de nécessité, de fatalité ; ensuite, l’existence d’une épreuve morale liée à la pression d’une adversité exercée dans la durée ; enfin, le risque de la mort. La nécessité est liée au fait de devoir vivre l’inévitable. Or, chacun peut constater que la volonté inflexible des djihadistes ne peut mener qu’à l’affrontement, quel que soit la forme pris par celui-ci. La tragédie, c’est l’engrenage, la liberté humaine qui ploie sous une force qui la convoque, la défie et menace de la broyer. L’épreuve morale est évidente. « Que faire ? Ferons-nous les bons choix ? » nous demandons-nous avec inquiétude. « Saurons-nous rester unis ? Nous diviserons-nous ? ». Chacun se sent concerné. La vie prend un caractère plus intense. Les gestes et les paroles sont auréolés d’une sorte de charme inconnue, le charme étrange de l’épreuve et du quitte ou double. Et puis, évidemment, le risque de la mort. Chacun est une cible, nous dit-on. Et on laisse aux citoyens le soin de compléter cet avertissement : « Puisqu’on m’attaque, je vais me défendre, je ne suis pas un lâche ! »

Je n’écris pas pour juger le sens des responsabilités de nos gouvernants, la raison d’être de leurs décisions. Je suis incompétent pour ce faire et je veux bien croire que la situation est difficile, qu’elle exige un certain doigté. J’observe simplement, une nouvelle fois, que tout, pour l’homme, est objet de divertissement et de spectacle, même l’horreur. Tout de suite les poses, les grandes phrases, la figuration. Cette observation frappe d’autant plus l’esprit lorsque la lassitude de soi et l’absence de perspective collective condamne les individus à surexploiter certains événements et à s’exagérer certaines menaces. Car s’il est évident que l’Etat islamique et ses thuriféraires doivent être considérés comme des « ennemis », est-il sérieux de penser qu’ils pourraient être la cause d’une guerre ouverte en France ? Et au fond, n’est-ce pas le sentiment du pathétique plus que le sentiment grandiose du tragique que les faits et gestes monstrueux des terroristes devraient éveiller en nous ? Dès lors, le sentiment du tragique ne trahit-il pas un désir de s’enivrer, de s’imaginer que notre histoire prend une tournure inattendue, justifiant par-là même tout ce que nous sommes ?

Peut-être existe-t-il une autre façon de réagir à l’événement, une voie qui permettrait tout à la fois d’éviter les pièges de la posture de l’homme-en-train-de-se-regarder-faire-l-Histoire et les insuffisances de celui qui, parce qu’il est attaqué par des pauvres types se trouve soudainement extraordinairement beau dans le miroir. Cette voie serait celle de l’imagination politique. Se réunir, discuter, penser, travailler, imaginer ensemble ce que pourrait être une cité juste. Bref, retrouver un certain esprit utopique, lavé des emportements idéologiques qui ont condamné notre époque à un réalisme froid, infécond et cynique. Ce serait un esprit utopique fait d’idéal moral, d’exigence, de sens de la justice, de fraternité et d’espérance. Ce faisant, nous ne chercherions pas dans la politique un opium ou un moyen de nous désennuyer mais plutôt une chance de prendre collectivement l’existence au sérieux.

J’ai rencontré l’autre jour l’un de ces gars qui pensent que la lucidité est seule capable de sauver l’humanité. Financiarisation, crise écologique, terrorisme… Se répéter que le pire est probable, se convaincre qu’il est même inévitable et que les choses vont empirer, voilà comment éveiller en nous la force d’agir et de changer en profondeur nos systèmes économiques et politiques ! A mon avis, cette méthode ne mènera pas loin. Le désir d’agir trouverait dans l’idée du meilleur un aliment au moins aussi puissant que l’aliment peu nourrissant du catastrophisme, produit de la conscience certaine du pire. Une idée du souhaitable, de l’excellent, du parfait, c’est depuis toujours ce que les utopies se proposent de représenter, révélant par-là même que l’homme est conçu pour la perfection et le bonheur. On leur oppose le fait qu’elles sont inutiles et que jamais elles ne s’accompliront. C’est peut-être vrai mais leur signification ne tient pas seulement à la croyance en leur réalisation. Leur mérite est plutôt de faire se lever en nous les ressources du désir et de l’espérance. Nous sommes orphelins de toute utopie et à cause de cela nous en venons à abandonner spiritualité et politique, à délaisser la liberté collective et à ne voir dans le quotidien que la morne répétition d’un spectacle qui ne change pas et duquel nous cherchons le plus souvent possible à nous divertir.



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"Ivresse et lassitude" par Foucauld Giuliani (sur @AlterCatho) [*]

Attentas du 13 Novembre 2015 ... [*]

Signature de la "Charte de la Laïcité" par les parents à l'école !
Neutralité religieuse dans les structures privées: 
             il est temps de cesser de surjouer la laïcité ! (Jean-Frédéric Poisson)
«Ce n'est pas l' Islam...» ? - Rémi Brague,  André Malraux, Paul anel"
#JeSuisCharlie : En état de choc, on fait n’importe quoi
                     par Guillaume de Prémare (...et autres assais)
Attentats:  Unité de la France ,unité de l'Islam  et civilisation ?
"Les prophéties de Bernanos" ( Clément Borgal ) - Impasse de la Liberté
Réaction du Cardinal Mamberti sur le jugement de la Cour européenne
 à propos de la Liberté de conscience et religieuse (@news_va_fr 2013)
Le Gender ou "L'idéologie libertaire à l'assaut de nos libertés fondamentales"  par François-Xavier BELLAMY
"Jeunesse Lumière à 30 ans" JL30 avec le Père Daniel Ange 
La France est-elle encore la « fille aînée de l’Eglise » ? Par le cardinal Philippe Barbarin
Spiritualité conjugale selon Jean Paul II - 1/2 - "Le rêve de Dieu par Yves Semens"
Spiritualité conjugale selon Jean Paul II - 2/2 - "Une spiritualité conjugale"
Lettre de Mgr Aillet (MANIFPOURTOUS , Bioéthique , Gender , Euthanasie Morale Laïcque...)
Homélie de Mgr Marc Aillet à Notre Dame de Chartres (clôture du pèlerinage)
Dominique Humbrecht : " À défaut d'avoir précédé, nous (L'Église de France) 
pouvons encore suivre. Nous sommes acculés à l'exemplarité culturelle."
Veilleurs: "Cathos et rebelles" ( via Le Figaro 18 Avril 2014)
"Les Veilleurs" (20 Avril 2013)
Proclamation de St Thomas More comme patron des responsables 
de gouvernement et des hommes politiques
Loi naturelle et loi civile: 1-"un mariage de raison"
"1984" de George Orwell avec Raphaël Enthoven dans"Le Gai Savoir
Halte au narcissisme du corps avec Adèle van Reeth
Les nouvelles technologies vont-elles réinventer l' homme ?
"Le droit canonique est un droit de guérison"(L'Eglise : une institution juridique ? )
La liberté religieuse en cause en Europe
La voix éloquente et claire de la Conscience
Conscience morale: "Les chrétiens au risque de l'abstention ? "
La liberté de conscience et religieuse menacée aux États-Unis


Cardinal André XXIII - Extrait " Vision actuelle sur la Laïcité (KTO) "
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie I)
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie II)
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie III)
( Quelle société voulons nous ? (Cardinal André XXIII ) - Partie IV)

La laïcité à la française " une analyse de Mgr Jean-Louis Bruguès
La voix éloquente et claire de la Conscience
"La révolte des masses" - d' Ortega Y Gasset
Quand l' Eglise interpelle les consciences....pour 2012
Adieu Benoît XVI - Livre d' Or (ici)
Spiritualité conjugale selon Jean Paul II - 1/2 - Le rêve de Dieu par Yves Semens
Démocratie "entre" Loi civil et loi morale - Extrait de l' Evangile de la Vie (Evangelium vitae)
Inauguration de la statue de Jean-Paul II par Monsieur le Sénateur Gérard COLLOMB
Dans les combats, "Mes Armes" - faisons les nôtres ... (Ste Thérèse de l' enfant Jésus)
"DIVINI ILLIUS MAGISTRI" LETTRE ENCYCLIQUE DE SA SAINTETÉ
LE PAPE PIE XI SUR L'ÉDUCATION CHRÉTIENNE DE LA JEUNESSE
La morale laïque, une nouvelle religion pour la République ?
(Observatoire Sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon)
"Notre République" par Charles Vaugirard
La Laïcité, 4éme devise de la République pour Mr Olivier Falorni !!!!
"Tomber la culotte" ET "morale laïque" de Vincent Peillon à l' école 
Chiara Petrillo: "OUI à la VIE"
L' état doit il avoir une éthique ? La loi est elle pédagogique et donc
oriente elle vers le bien ?
Démocratie "entre" Loi civil et loi morale
Extrait de l' Evangile de la Vie (Evangelium vitae)
Chronique libre: "De l'ordre moral à l'ordre infernal"
Conscience morale: "Les chrétiens au risque de l'abstention ? "
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